Blanchiment
"Vigilance mais indépendance"
La loi du 11 février 2004 a étendu aux professions juridiques des obligations de vigilance et de déclaration d’opérations concernant leurs clients pour ce qu’on appelle le blanchiment d’argent . Le risque d’atteinte aux principes essentiels de la profession est réel. La mission même de l’avocat serait inconciliable avec toute fonction de dénonciation. Il nous faut trouver des règles, au sein de nos propres instances, pour concilier le secret professionnel avec l’exercice normal de la justice.